Sur le chemin des musées, arrêtez-vous à la pâtisserie

Je vous ai déjà parlé de la difficulté que j’ai parfois à trouver un bon truc à grignoter sur le chemin entre deux musées. Et puis j’ai trouvé la Pâtisserie de Cyril Lignac tout à côté du Palais Galliera, et donc pas loin non plus du musée Guimet, du Musée d’art moderne de la ville de Paris… Et abordable en plus d’être très bon !

En sortant de Galliera, il suffit de poursuivre quelques mètres pour trouver la pâtisserie. Comme le nom l’indique, vous pourrez choisir des pâtisseries mais aussi un menu déjeuner au même tarif que chez Paul pour une recherche des goûts et des saveurs bien supérieur. On a fait notre choix et puis nous avons rejoins le Grand Palais pour visiter l’exposition Carambolage. C’est une promenade assez agréable où on lèche les vitrines avant de manger.

Il faisait beau en ce mois de mars de marathon de Paris et donc nous avons mangé dehors. Les premier sandwich était un poulet massala, très loin du poulet crudité et meilleur que le déjà classique poulet au curry qu’on trouve dans certaines boulangeries (qui peuvent être très bons !) . Le second sandwich est une variation du jambon cru. Je me rappelle encore, deux mois après, de la qualité de la charcuterie. Vous savez, le jambon cru, c’est difficile à couper avec les dents, dans le sandwich. Et bien là, je vous prie de croire que ça cède sous la dent ! Et puis une qualité de pain ! Le fond était plat, beaucoup plus facile à arracher.

Et puis prendre son déjeuner chez un pâtissier de formation, c’est forcément garder de la place pour le dessert. Dès la première bouchée, le credo gourmand croquant et fondant vient en tête. Tout y est ! La crème (au chocolat dulce et au lait) se tient avec un fondant en bouche qui, là aussi, laisse des souvenirs ! Et puis le cookie sur le dessus qui vient donner du croquant. La petite couche de caramel au beurre salé donne un twist bien sympa aussi.

Il existe plusieurs Pâtisserie Cyril Lignac à Paris, n’hésitez pas à y passer ! La prochaine fois que je vais à Paris, je fais un détour sucré par la chocolaterie, a proximité d’aucun musée de ma connaissance.