Ce livre est un best-seller. Je l’ai lu car ma mère le lisait et l’avait perdu, je lui ai acheté une version poche en attendant qu’elle retrouve son folio et c’est alors qu’elle m’a redonné le mien. Si c’est un roman, je l’ai surtout lu comme un livre de développement personnel. Les paragraphes suivants sont des notes que j’ai prises lors de ma lecture et assemblées en paragraphes thématiques. Issues du livre, ils reflètent ma lecture et ce que j’ai choisi d’en extraire, ce qui me parlait au moment où je l’ai lu. Mon interprétation s’y glisse mais cela ne dévoile rien de l’histoire… Alors lisez-le et n’hésitez pas à laisser vos impressions en commentaires.

Ce livre est une quête initiatique de soi. Cela me parle pleinement car je suis en train de faire cela. Vérifier sur tous les plans de ma vie si ce que je fais me plaît et que puis-je faire pour les aimer encore plus. « Il n’est rien de plus important que de vivre à la hauteur de ses rêves d’enfant ». Je suis à la recherche de mon enfant intérieur, pour lui donner une voix et m’assurer qu’il est heureux. J’ose vivre la vie qui me ressemble et non la vie qu’on a imaginé pour moi. Tout parent a peur pour son enfant et cherche par tous les moyens à le préserver de la souffrance. Mais c’est peut-être parfois un frein pour l’enfant qui doit accomplir son destin et faire sa vie. Si on laisse ses rêves d’enfants de côté, c’est assurer une sclérose de son cœur. Personne d’autre que soit n’est responsable de son propre bonheur, je me prend en main et j’agis. La vie conjugale ne doit être qu’une cerise sur le gâteau d’une vie déjà heureuse par soi-même. Le meilleur moyen de muscler son affirmation de soi est d’apprendre à être son propre meilleur ami. L’image qu’on se fait du monde est d’autant plus belle que l’image de soi est bonne, se sourire à soi-même, c’est se plonger dans un bain d’amour. Plus que la mariage ou le loto, la nature apporte un bienfait mental quotidien et durable aux personnes qui la côtoient.

Arrive parfois un moment dans la vie où, sans être en dépression ou en burn-out, on peut ressentir une sensation de vide et sentir une culpabilité d’avoir « tout pour être heureux » mais de l’observer à distance sans en profiter. Descend de ta croix, on a besoin du bois : arrête de te plaindre et mets toi au boulot pour trouver une solution. Nous sommes ce que nous disons. Si nous répétons sans cesse des choses négatives sur nous, c’est ce que nous deviendrons. Vous verrez, votre cerveau croit ce que vous lui dites. Instaurer un cercle vertueux permet d’engager un changement positif : commencer par une pensée positive (ou faire comme si : fake it ’til you make it), adopter une attitude physique dynamique (dos droit, menton relevé, sourire), communiquer son entrain et son enthousiasme, développer sa capacité à prendre soin de soi (bien manger, faire de l’exercice, se faire plaisir), exprimer sa bonne estime personnelle (« j’ai de la valeur », « je mérite d’être heureuse »), s’ouvrir aux autres opportunité, aux réseaux, aux possibilités de rebondir, avoir un regard créatif et constructif sur la situation, trouver des solutions, réussir et atteindre des objectifs fixés, avoir des pensées positives. Le secret c’est de ne jamais s’arrêter de pratiquer et de reprendre le contrôle de son mental, de décider que, même les choses désagréables, on les vivra bien. C’est salvateur avant un rendez-vous ou un appel téléphonique un peu difficile.

Lorsqu’une opportunité se présente, la seule personne ayant quelque chose à perdre à ne pas la saisir : c’est moi. Il est toujours urgent de se réaliser. Rester dans l’attente et la passivité ne sert à rien. « Je suis la seule personne responsable de ma vie et de mon bonheur ». « Tout est changement, non pour ne plus être mais pour devenir ce qui n’est pas encore. » (Epictète) « Le changement est une porte qui ne s’ouvre que de l’intérieur » Tom Sever

Empathie sèche : entendre et compatir aux problèmes des autres sans se laisser contaminer par ses conséquences néfastes sur l’humeur. On ne peut être atteint que si on est atteignable. Je me sens parfois trop inatteignable… « Faire du bien aux autres, c’est de l’égoïsme éclairé » (Aristote). En misant sur la confiance et sur d’autres valeurs comme le partage de connaissances, le soutien inconditionnel, ceux qu’on aide se montrent généreux. C’est en tout cas ma vision karmique de la vie, faire du bien autour de moi ne peut que m’apporter du bien, pas forcément par un prêté pour un rendu par la même personne, l’Univers est bien plus vaste que cela. Certains me trouvent bonne poire mais je sais aussi dire non et les bonheurs de la vie me donnent force et confiance en ce principe. J’ai mis un stop au faire plaisir systématique. Je prend une pause à chaque demande pour me questionner si le service me coûte. Je m’autorise aussi à changer d’avis. Le plus grave n’est pas d’échouer, c’est de ne pas avoir essayé.

« Aujourd’hui est un cadeau, c’est pour cela qu’on l’appelle présent »

Pour découvrir l’histoire et le Petit vade-mecum de routinologie à la fin : lisez le livre

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Extraits du vade-mecum

Ancrage positif : Il s’agit d’un moyen de réactiver les sensations ressenties d’un moment heureux, comme lors de l’invocation d’un Patronus. Il faut bien visualiser le moment heureux, ressentir intensément l’état dans lequel on est l’associer à un stimulus : mot, image ou geste afin de le mobiliser à la demande.

Art de la modélisation : Modèles parmi les personnalités ou les personnages de fiction dont vous admirez une qualité, un aspect de leur vie. Installer les portraits dans un endroit visible et fréquenté pour les voir et s’en inspirer souvent.

Cahier d’engagements : Noter les objectifs qu’on se fixe, qu’on a pris vis-à-vis de soi-même. Il n’y a plus qu’à s’y mettre !

Carnet du positif : un répertoire sur lequel noter par ordre alphabétique ses petits et grands succès.

Changer de dialogue interne : répéter chaque matin devant le miroir des affirmations positives sur soi-même. Même si on n’y croit pas du tut au début, le cerveau entend et enregistre ces phrases.

Décoller ses timbres : oser dire ce qu’on a sur le cœur au fur et à mesure.

Faire le chat : s’accorder un moment rien qu’à soi, s’ancrer dans l’instant présent et juste être.

Faire une FETE : au lieu de faire des reproches exprimer les F/Faits contrariants, exprimer ses E/Emotions en utilisant je, proposer ensuite un T/Terrain d’E/Entente = suggestion d’amélioration.

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