Dans les choses dont j’aimerais vous parler plus souvent il y a le sommeil. C’est un des besoins essentiels de l’être humain et beaucoup de choses de notre quotidien ne permettent pas de favoriser le sommeil. Entre la peur de manquer quelque chose, le stress, les pollutions lumineuses ou sonores, on n’est pas forcément aidé. Pourtant, et malgré un parcours complexe, j’ai réussi à retrouver un sommeil qualitatif et annuler ma dette de sommeil. Voilà comment :
Oh là là, j’en ai des souvenirs liés au sommeil !
Petite aller au lit était déjà compliqué. Rétrospectivement, mes parents n’avaient pas mis en place de rituel du soir, c’était un peu expédié, les dents et au lit, bam, débrouille toi pour trouver ton sommeil ! C’est en tout cas comme ça que je m’en rappelle.
Dès que j’ai su lire, j’avais un album ou un petit livre à côté de mon lit que je lisais jusqu’à dormir, quitte parfois à ralumer la lumière d’une façon ou d’une autre (un soir je me suis relevée toutes les 3mn pour allumer la lumière du couloir qui avait un minuteur afin de continuer à regarder mon livre, pas discret du tout). Petite j’avais déjà des soucis parmi lesquels le rangement de ma chambre et l’école, qui jouaient certainement un rôle dans mes difficultés à m’endormir. J’ai toujours été anxieuse et cela joue beaucoup sur mon endormissement. J’ai peur par anticipation et cette anticipation a sa place le soir, surtout quand on me conseillais de penser à la journée du lendemain pour m’endormir…
Au collège, les problèmes de sommeils continuant, ma mère en a parlé au médecin de famille qui a prescrit des gouttes de phytothérapie pour m’aider à trouver le sommeil. Cela a fonctionné, un temps. Et puis le contexte est devenu plus complexe avec du harcèlement scolaire et finalement le problème n’était plus tant de m’endormir mais de bien dormir. Cela a eu des conséquences sur mon état général mais finalement, j’ai survécu au collège.
Arrivée au lycée, c’est un changement de rythme qui a profondément changé mon sommeil : j’avais 50mn de trajet pour aller à mon établissement, 50mn pour en revenir et ces 2 heures de vies allaient beaucoup me manquer ! Aussi j’ai commencé à me lever plus tôt, beaucoup plus tôt, pour faire plus de choses le matin et prendre le temps de les faire. En rentrant du lycée, j’avais bien sûr des devoirs à faire et je me couchais donc tard. De plus en plus tard même pour avoir l’impression d’avoir des loisirs en plus de ma journée de cours et de mes devoirs…
Avec l’Université et la vingtaine, j’ai atteint le point de non retour, à un moment où je me réveillais chaque nuit à 4h30 du matin (et quand je dis 4h30 c’était entre 4h27 et 4h37) et je peinais à me rendormir, me tournant et me retournant dans mon lit ! Je me réveillais fatiguée, un épuisement généralisé, j’ai fait un burn-out à 21 ans ! Un burn-out non professionnel mais un gros message d’alarme que quelque chose n’allait pas. J’ai commencé à me renseigner sur des moyens de me relaxer, j’ai découvert le yoga, la relaxation et la sophrologie. J’ai eu la chance de bénéficier de séances de sophrologie qui m’ont appris une technique pour m’aider à trouver le sommeil facilement.,
Petit à petit j’ai exploré les façons d’améliorer mon sommeil et voici mes astuces à tester pour améliorer la qualité de votre sommeil sans médicament. Certaines pourraient vous étonner ! C’est gratuit pour toute inscription à la newsletter sur le sommeil dont vous pouvez vous désabonner à tout moment !
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Simple et organisé 
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